Le duo Dionne Brégent comprit Vincent Dionne aux percussions et Michel-Georges Brégent aux claviers. Leur premier album apparût en 1976, intitulé « ...Et le troisième jour ». Il s'agit d'un effort plutôt expérimental. Le premier côté est un délice aux percussionnistes. Le deuxième côté cède la place aux claviers, ce qui produit un son semblable à un jeune Tangerine Dream. Le deuxième album, du nom de « Deux », arrive un an plus tard. Celui-ci démontre un progression bien définie pour le duo, augmenté d'une foule de musiciens accompagnateurs. Les compositions présentes à « Deux » sont davantage variées, mélodiques, énergétiques même. On ressent la vie de cette musique de façon plus immédiate que les pièces de l'album précédent, grâce à l'orchestration davantage approfondie, chorale, cuivres, harpiste et quatuor de cordes. La nature électronique de l'album l'éloigne de la musique folk qui était populaire au Québec à l'époque. C'est peut-être à cause de ceci que « Deux » demeure un bijou peu apprécié du mouvement progressif dynamique au Québec. Tous deux établirent des carrières solo suite à leur collaboration, les oeuvres de Dionne ressemblant à du jazz de style ECM, ceux à Brégent explorant le territoire électroacoustique. Bregent succombera au cancer en 1993.
Dionne Brégent was a duo comprising Vincent Dionne on percussion and Michel-Georges Brégent on keyboards. They released a first album in 1976 entitled "...Et le Troisième Jour". It is a more experimental effort, with side one being a percussionist's delight, and side two being more keyboard-heavy in a vein that is very similar to early Tangerine Dream. Its dark, otherworldly ambiance and vaguely tonal percussion also brings to mind a more even-tempered version of Harry Partch's instrumental works. The second album, simply called "Deux" and released a year later, is a much improved work featuring a host of back-up musicians. "Deux" contains compositions that are much more varied, melodic, and energetic. The fuller orchestration, which includes choral singing, a horn section, a string quartet and a harpist, brings the music to life in a more immediate fashion than the preceding album. Its electronic nature was very different from most of the folk-based music that was being produced at the time and, perhaps because of this, it remains an oft overlooked gem of Quebec's dynamic prog scene. Afterwards, both musicians pursued solo careers, with Dionne recording works in an ECM jazz vein, and Brégent heading towards electro-acoustic territory. Brégent passed away from cancer in 1993.